L’Histoire
À l’origine
Il y a un goût pour le style transmis de père en fils. D’abord
grâce à la friperie de Charles Bensimon, le grand-père, à
Oran en Algérie.
Puis, via le plus grand surplus militaire de
l’époque créé par le père et l’oncle, Simon et
Emile Bensimon, en région parisienne.
« J’ai grandi dans
les grosses balles
de vêtements
cerclées de métal
de l’armée ! »
Serge Bensimon
« L’objectif est de
susciter à nouveau
du désir, de l’envie,
à partir de fripes,
d’objets dont
personne ne veut
plus en les
transformant »
Serge Bensimon
Un tour de magie,
ça vous dit ?
Serge Bensimon rejoint la friperie et apporte sa touche personnelle. Le surplus, c’est bien
mais avec un twist mode c’est encore mieux ! Il customise sahariennes et parkas, ces
pièces taillées dans de belles matières et avant tout fonctionnelles, pour y insuffler une
note créative…
Pour la petite anecdote (et pour les cinéphiles), elle incarne même l’une des
héroïnes du film L’Effrontée réalisé par Claude Miller, car aux pieds de Charlotte
Gainsbourg.
La même année, ils reçoivent 100 000 tennis de gymnastique blanches de l’armée française. Ces tennis, Serge va les teindre.
Après un véritable travail de recherche et un long
processus de développement, il met au point une
technique capable de colorer la toile sans
déborder sur le caoutchouc.
Un des iconiques de la marque est
né et met tout Paris à ses pieds.
Dans l’air
du temps
Le premier vestiaire Bensimon est en une
des magazines et incarne un engagement
politique. Dévoilées en pleine guerre du
Vietnam, ces parkas, sahariennes et
tennis ont une portée politique.
Naissance du surplus Bensimon
Serge demande à son frère Yves de le rejoindre pour développer le Surplus Bensimon. Si Serge est aux manettes du style, Yves veille quant à lui à la dynamique commerciale.
Et là, tout s’accélère…
Les vêtements bien coupés font leur entrée… Une ligne de prêt-à-porter inspirée par le vestiaire militaire et twistée par Serge. Teinture, délavage tie and dye inondent la collection. C’est aussi à ce moment-là que Serge signe son premier engagement : bannir le noir du catalogue.
Le tout premier concept store français fleuri dans le Marais. L’envie de Serge ? Mêler mode et mobilier dans une même boutique. Alors oui, peut-être que vous trouvez cela banal mais pour l’époque, c’est du jamais vu. Il en profite pour présenter du mobilier artisanal fabriqué par les Amishs de Pennsylvanie avec lesquels il organise également une collecte de recyclage du bois issu de leurs fermes.
Pour les 10 ans de la marque,
Serge et Yves inaugurent
une capsule « B.S »,
une compilation de leurs
iconiques qui reviennent
de saison en saison.
La tennis Bensimon est exposée aux Galeries Lafayette. Pour
l’occasion, elle est rhabillée par les plus grands noms de la mode.
Entre autres : Jean-Paul Gaultier, Agnès B ou encore Cacharel.
Saviez-vous qu’elle est aussi passée entre les mains de la maison
Chanel et du bureau de style d’APC ?
Le point de départ qui va ouvrir la
voie à de nombreuses
collaborations et aux premières
séries limitées.
Les deux frères donnent un petit coup
de main à leur librairie préférée, Artazart.
Elle fait donc son entrée dans la famille
des boutiques Bensimon.
Guidés et inspirés par l’art, c’est tout
naturellement qu’ils décident d’ouvrir la
Galerie S. Bensimon. Un lieu où ils
convient la jeune création internationale.
Un engouement
international
Bensimon pose ses bagages dans
l’incontournable grand magasin
hongkongais « Lane Crawford » le temps
d’un pop-up éphémère consacré à la
tennis. Serge Bensimon y propose une
sélection d’objets, d’œuvres d’art et bien
sûr de tennis sur le thème « L’Est
rencontre l’Ouest ». Sauf que le problème
c’est que nous n’avions pas pris assez de
paires dans nos valises.
À force de voir les touristes remplir leurs
valises de paires de tennis Bensimon, ça
nous a donné des idées… Des envies
d’ailleurs. Nous inaugurons notre toute
première boutique au Japon et plus
précisément à Tokyo au mois de février.
L’engouement est tel qu’il faut ouvrir une
seconde boutique. Pour celle-ci, rendez-vous
à Yokohama. La Corée, elle aussi, succombe
au style Bensimon Autour du Monde. Pour
ne pas faire de jaloux : une troisième
boutique en Asie a ouvert ses portes à Séoul
en fin d’année.
Notre tennis iconique fête ses 40 ans. Pour l’occasion,
40 artistes internationaux ont carte blanche pour
colorer sa toile. Ces 40 paires de collection seront à
découvrir lors de la rétrospective qui lui est consacrée à
la galerie Joyce. Une manière pour nous de revenir sur
les secrets de sa fabrication et sur 40 ans de savoir-faire
et d’innovation.
Naissance de
la B79
Une paire de tennis plus haute, plus urbaine, plus
responsable qui se décline aussi bien en version haute
que basse. L’occasion de tester les matériaux de demain
ou des techniques de fabrication toujours plus
respectueuses pour la planète.
Une nouvelle
direction de l’image
et du style
La marque revient au devant de la scène avec une
image plus moderne, une démarche de création plus
éco-responsable.
Les essentiels de nos collections continuent d’être
revisités, les couleurs twistées, un ADN de marque
intact mais plus contemporain.
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Quelques conseils pour vous aider :
- Soyez plus générique, vous pourrez ensuite filtrer les résultats.
- Vérifiez l'orthographe des mots saisis.
- Si vous cherchez un produit du catalogue, tapez directement sa référence (ex : 123778).
- Si vous ne trouvez toujours pas votre produit, n'hésitez pas à nous contacter ou à vous rendre dans la boutique la plus proche.